Défenseur des droits humains à Taïwan, Lee Ming-Che avait été reconnu coupable de « subversion de l’État » en novembre 2017. Après avoir été détenu au secret pendant plus de huit mois, puis condamné à cinq ans de prison, il est enfin rentré libre à Taïwan.
Depuis 2017, grâce au soutien régulier des veilleurs de liberté, l’ACAT-France s’est mobilisée en sa faveur pour exiger l’abandon des charges qui pesaient injustement contre lui.
Le 14 avril 2022, après 5 ans de mobilisation, Lee Ming-Che est enfin libre.